| Sujet: Retour à la maison. [Fini] Lun 20 Juin - 18:11 | |
| [center]Mon retour. « Shiit Shiiit.. » Un vent glacé souffla dans les vastes ruines du Hueco Mundo,rien ne se trouvait au milieu de ses étendus de ruines qu’on voyait à pertes de vu, rien .. Sauf, ce vent vint caresser la figure couleur café d’une jeune femme qui se tenait assise sur un rocher plat d’un mètre environ. La jambe gauche posée sur un autre rocher qui avait une forme hexagonale, un bas de kimono blanc couvrait la jambe de la jeune métisse qui ne bougeait pas, ses beaux yeux verts tels une prairie regardaient le vaste horizon remplis de décombres. Elle portait une veste blanche qui couvrait sa poitrine jusqu’à sa bouche et se prolongeait sur ses fins bras laissant juste voir au bout un gant noir qui cachait ses phalanges, un bas de kimono ample blanc, une chevelure doré comme un champ de blé qui dansait sous le vent froid et gelé deux nattes venaient se mêlaient à la danse. La jeune femme ne bougeait toujours pas, elle leva son pied gauche du rocher et le posa sur le sol sableux, elle se leva laissant apparaitre un fourreau de couleur rose qui était au milieu de son dos laissant paraitre une large garde qui avait au bout de chaque pôles trois cercles en forme de croix. Les bras le long du corps la métisse avança vers une grotte, qui se trouvait sous un tas de pierres et de gravas. La nuit gagnait du terrain dehors le noire cacher peu à peu e sol sableux et en ruines, la jeune demoiselle entra dans la grotte humide et sec sans dire un mot, elle regardait droit devant elle, la femme sans crainte restait sur ses gardes mais ne laissant rien voir elle continuait son chemin dans la pénombre de la grotte, aucun son n’émaner de cette grotte inconnu au milieu du Hueco Mundo la femme s’emblait connaitre cette grotte par cœur rien ne pouvait troubler ce silence…2caliré de quelques torches à peine visibles sur les parois de la grotte, une ombre dansait sur les murs cette ombre n’était que celle de la métisse qui marchait tranquillement sans peur dans cet endroit inconnu de tous sauf d’elle … Arrivée au bout du chemin la femme s’arrêta devant un cul de sac. Elle resta là devant le mur éclairée par un torche accrochée au mur de la paroi droite la lumière de la torche éclairée le visage de la femme, son ombre se reflétait dans les trois murs autours d’elle celui de droite, gauche, celui devant elle et le sol. Elle était toujours là sans bougeait, sans parler pendant environ deux à trois minutes; elle fixait éperdument le mur en face d’elle qui était orné d’un dessin bizarre, effacé par le temps et les âges il était dessiné un homme dont on ne voyait que le corps en face de deux chose mais le dessin était trop vieux pour qu’on puisse bien distinguer ces deux choses. Elle leva tranquillement son bras droit poing fermé vers la paroi droite du mur d’un bleu nuit uni rien n’était sur ce mur il était normal tout comme les autre de la grotte, un peu fissurer mais rien tout était normal, où elle laissa sa main à sept centimètre du mur elle ouvrit sa délicate main et la posa à un endroit précis de se mur lisse sans défaut seulement un petit trou qui était cachait par la main de la femme. Elle poussa doucement le mur qui petit à petit s’enfonça dans le noir profond, petit à petit on n’apercevait à peine le mur, le déplacement du mur laissa apparaitre un escalier cachait qui menait à une pièce secret on fond de la grotte, la femme se tourna vers ce nouveau chemin qui était qui allez laisser dévoiler un escalier qui donne vu sur une pièce toujours sans rien dire mais dans son regard éclairé par la faible lumière rouge on voyait qu’elle était calme tout en restant sur ses gardes. « Toc Toc » Faisaient le bruit des sandales de la jeune demoiselle de couleur métisse contre les escaliers en pierre du chemin caché, une, deux, trois,… Les marches des escaliers n’en finissaient plus ils descendaient en cercles, la jeune dame descendait tranquillement les escaliers en pierres, une lumière vint percer le noire et la fin de cette escalier interminable se fit voir. Arrivé au bout des escaliers de pierres la métisse se trouvait en face d’une pièce rectangulaire entouré de quatre mur de roc mais celui de face était détruit, un grand trou se trouvait au milieu de celui-ci plein de rochers et de pierres se trouvaient partout sur le sol sales et vieux de la pièce. A milieu de la pièce se trouvait une table faite également de roc avec quelques chaises faite aussi de roc autour de cette table amochée. La pièce était éclairée par quatre torches accrochées aux quatre murs des quatre parois. La jeune demoiselle s’approcha doucement de la table et posa doucement sa main dessus et s’avança vers le trou, dans son regard on voyait qu’elle n’était plus là mais dans ses pensées. Elle ferma les yeux et ne bougea plus d’un pouce, à nouveau un vent glacé légèrement plus violent que le précédent, ce vent ou plutôt cette bourrasque fini un nuage de poussière dans la pièce, le vent dans ses cheveux la femme ne bougea pas, elle ouvrit les yeux et se plaça en face du trou dans le mur qui donné vu à l’extérieur sombre éclairé par la pleine lune qui scintillaient de milles feux dans la pénombre. Elle se retourna vers la table et assis sur une des chaises qui se trouvait assez proches de la table. Après s’être assise elle passa un doigt dans l’un des trous de la croix supérieur de son fourreau et le tira vers l’extérieur pour le récupéré la large garde dévoila une épée courte avec une fente au milieu qui se prolongé tout le long de la lame large, elle le prit par sa manche et le posa délicatement sur la table, un léger bruit de faire se fit entendre dans la pièce. La forme du l’arme était très originale, la lame était rayonnant et très claire aucun défauts ne se faisaient paraitre sur cette magnifique arme. La garde de l’épée large courte était aussi belle que sa lame d’une couleur rose avec une manche assez courte. Elle caressa délicatement la lame courte et la regarda avec admiration, impossible de dire combien de chaire cette lame a-t elle tranchée … Mais une chose est sur elle ‘était si tranchante et si puissante qu’un seul coup réussirai à vous couper la tête pour qu’elle se retrouve dans vos de mains en un rien de temps ! La jeune demoiselle continuait à caresser tout doucement son épée large quand tout à coups elle s’arrêta. Elle se leva de sa chaise d’un coup et passa son index droit dans le même trou est d’un coup sec le fit lever et le fit tourner près d’elle. Elle l’arrêta d’un coup est le pris par le manche pour l’arrêter dans sa course et le replacer dans son fourreau. La métisse se retourna a nouveau vers le trou et dit :« Je suis Tya Halibel et mon but est de reconstruire l’Espada dans son intégralité ! » Dit-elle d’un ton sec et froid ! (Ma première destination sera la Terre … Le seul endroit où je ne me suispas encore rendu …) Pensa t- elle.Elle leva son bras droite et traça une ligne … De ce geste apparut un sorte de fissure dimensionnel noire comme ci on ouvrait une fermeture éclaire, elle le regarda le trou dimensionnel avec un œil elle marcha lentement vers la fissure noire et y pénétra délicatement à l’intérieur d’un pas sur et décidée. Aussitôt qu’elle i pénétra la fissure se referma et disparu sans laisser de trace une bourrasque énorme vint tout bousculer à l’intérieur de la pièce mais où la métisse se trouvait t- elle maintenant ? |
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